Sanne vandebril

Opticien Pearle

Travailler et étudier

Sanne Vandebril (un nom prédestiné car « bril » siginifie « lunette » en néerlandais) a décroché son diplôme d’esthéticienne, mais a réellement trouvé sa voie comme opticienne. Sanne : « J’aide volontiers les clients, j’aime les chiffres et je suis particulièrement attentive à l’aspect esthétique. Ces trois compétences sont nécessaires pour accomplir mon travail. »

Retour à l’école

Il va de soi que je n’ai pas pu travailler immédiatement comme opticienne avec un diplôme d’esthéticienne. Le métier d’opticien exige en effet de nombreuses connaissances techniques. Pour cette raison, je suis actuellement une formation de trois ans en cours du soir. J’en suis à mon avant-dernière année. J’assiste aux cours deux fois par semaine. J’approfondis un large éventail de matières comme les mathématiques, l’optique et l’anatomie. Ces connaissances sont indispensables pour pouvoir calculer la puissance des verres et donc permettre aux clients de bien voir à nouveau.

Même si je ne suis pas encore diplômée, je m’en sors très bien dans le magasin où je travaille. Je peux m’adresser en permanence à mes trois collègues pour leur poser des questions. Et le responsable du magasin contrôle attentivement mon travail.

Ma journée de travail

En quoi consiste ma journée de travail ? Le matin, avant l’ouverture du magasin, je contrôle les livraisons. De nouvelles montures et de nouveaux verres de lunettes arrivent chaque jour dans le magasin. Je déballe les colis, je vérifie si les modèles livrés sont corrects et je contrôle les marchandises pour y déceler les éventuels dommages. Ensuite, j’ouvre le magasin et j’aide les clients.

Parfois, une personne qui rencontre des problèmes de vue consulte d’abord un ophtalmologue qui réalise un examen pour choisir les verres nécessaires. Les clients peuvent venir chez nous avec ou sans prescription. Ils n’ont pas de prescription ? Je commence alors par un test de la vue. J’utilise pour ce faire le même dispositif qu’un ophtalmologue. La différence est que je ne mesure pas la pression oculaire et que je n’établis pas de constatations médicales. Si je remarque quelque chose d’anormal, j’envoie toujours le client chez un ophtalmologue.

Après le test de la vue, je cherche une monture adéquate en compagnie du client. Mais tous les jours ne se ressemblent pas : vous n’achetez pas une paire de lunettes tous les jours ! Certains clients savent tout de suite ce qu’ils veulent. D’autres, par contre, ne savent pas du tout par où commencer. Je porte moi-même des lunettes depuis l’âge de 12 ans : je possède donc une certaine expérience en la matière. Cette expérience est précieuse. Parfois, la mutuelle rembourse une partie du prix des lunettes. Dans ce cas, je fournis les documents et attestations nécessaires pour permettre au client de présenter un dossier complet.

Lunettes parfaites

Ensuite, les verres sont meulés dans le magasin, par moi ou par l’un de mes collègues. À l’heure actuelle, les verres de lunettes ne sont plus fabriqués en verre mais en plastique. Le meulage est un travail de haute précision qui nécessite l’utilisation d’une machine spéciale. Il est essentiel que les verres soient parfaits : l’acuité visuelle du client en dépend. Lorsque les verres sont meulés, je réalise le contrôle final et je monte les verres dans la monture. Puis un petit coup de nettoyage et le tour est joué !

Lorsque le client vient chercher ses lunettes, je veille à ce qu’elles soient parfaitement adaptées à la forme de son visage. Chaque morphologie est différente. Je veille donc à ce que les lunettes soient confortables en réglant la monture et je fournis les explications nécessaires sur l’entretien des lunettes.

Certains clients choisissent des lentilles de contact plutôt que des lunettes. Dans ce cas, je fournis des conseils utiles sur les différents types de lentilles, par exemple. Personnellement, je ne supporte pas les lentilles de contact. Mais cela ne me pose aucun problème. Il y a tellement de belles montures !

Reconnaissance

Le soir, je veille avec mes collègues à ce que le magasin soit rangé et à ce que la caisse soit clôturée. De cette façon, tout est prêt pour la journée de travail suivante. J’apprécie tout particulièrement de pouvoir aider des clients en tant qu’opticienne. Vous réalisez en effet quelque chose de concret : vous offrez à des clients la chance de voir à nouveau parfaitement. Et ils en sont extrêmement reconnaissants !

Jelle Jordaens

Opticien Pearle

Travailler et étudier

J'ai choisi de combiner travail et études parce que cela vous permet d'apprendre le métier le plus rapidement possible. Tout ce que vous apprenez, vous pouvez l'appliquer immédiatement dans la pratique et en travaillant, vous apprenez des choses que vous ne verriez pas en cours. Les deux se complètent donc à la perfection.

J'ai pour la première fois approché le secteur de l'optique à l'occasion d'un job d'étudiant au siège social de Pearle Opticiens Belgique. Après avoir visité plusieurs fois une filiale Pearle, mon intérêt a augmenté et l'on m'a demandé si suivre une formation pouvait m'intéresser.

Des inconvénients?

J'ai décidé de le faire et je ne le regrette toujours pas ! Le seul bémol, c'est que pendant trois ans, je n'ai eu qu'un seul jour de congé par semaine. Le lundi, je suivais les cours et je travaillais du mardi au samedi. La chouette atmosphère de travail dans le magasin où je travaillais à ce moment-là a toutefois contribué à me faire tenir le coup plus facilement. Mes collègues de travail étaient vraiment sympas et mes compagnons d'étude étaient tout aussi agréables. Je me rendais volontiers aux cours parce que cela n'avait rien à voir avec l'enseignement et l'apprentissage traditionnels. Les cours sont très ouverts et présentent un bon équilibre entre théorie et pratique. La première année, il s'agit surtout de théorie générale, mais ensuite, vous apprenez uniquement des choses qui vous sont vraiment utiles pour le travail.

Ma journée de travail typique

Je commence la journée en vérifiant les livraisons qui sont arrivées, et ensuite je meule les verres reçus avant de les insérer dans les montures. Après quoi je téléphone à tous les clients dont les lunettes sont prêtes pour leur annoncer qu'ils peuvent venir les chercher. J'aide par ailleurs les clients à choisir la bonne monture ainsi que le type de verre dont ils ont besoin. S'ils n'ont pas été chez l'oculiste, je procède à un test de la vue. Je suis aussi en charge de compléter la réserve de montures avec de nouvelles collections, etc.

J'aime beaucoup travailler pour Pearle Opticiens, l'atmosphère régnant dans cette entreprise est très motivante ! Je trouve très agréable d'avoir conscience que l'on peut aider aussi bien des clients qui disposent d'un petit budget, que des clients qui disposent d'un budget plus important, sans pour autant lésiner sur la qualité des produits. Pour moi, m'occuper chaque jour de clients est la partie la plus agréable de mon métier, les jours se suivent et ne se ressemblent pas. Aider des gens à mieux voir, c'est ce qui me motive chaque jour.

Quentin Dupierry

Pearle Opticien

Travailler et étudier

J'ai choisi la formation en alternance pour le métier d'opticien-optométriste, celle-ci me permet d'apprendre à l'école tout en pratiquant en magasin. C'est très agréable d'étudier en travaillant car on voit directement que ce que l'on étudie est utile au jour le jour dans le travail d'un opticien.

De plus, vous pouvez en apprendre beaucoup grâce à l'aide de vos collègues expérimentés en magasin. La formation en alternance est la façon la plus efficace pour apprendre le métier d'opticien car, dès la fin de vos études, vous êtes apte à travailler efficacement et de manière autonome.

Pourquoi le métier d'opticien-optométriste?

C'est un secteur où il y a beaucoup de diversité : vous pouvez faire l'examen de vue de vos clients, les conseiller et ensuite faire les montages des lunettes.

On peut également apporter nos conseils pour les porteurs de lentilles de contact.

De plus le métier d'opticien est un secteur d'avenir et offre une certaine sécurité d'emploi.

Des inconvénients?

Je pense que la seule chose qui est compliquée dans les études d'optique en alternance, c'est l'emploi du temps. En effet, combiner travail et études n'est pas une chose facile car vous n'avez qu'un jour de congé par semaine et, bien souvent, il faut étudier le soir en rentrant du travail. Les journées de cours sont variées car on combine théorie et pratique.

En tout cas, je ne regrette pas mon choix car ces études sont très intéressantes et ce métier très agréable me correspond pleinement !

Ma journée de travail typique

On commence la journée par une vérification de toutes les livraisons du jour, ensuite on réalise les montages pour nos clients. Pendant ce temps, il faut servir les clients et les conseiller le mieux possible pour leurs montures et pour leurs verres. On réalise également les examens de vue pour la plupart de nos clients.

C'est agréable de travailler au sein de Pearle Opticiens car l'ambiance y est très bonne et on ne s'ennuie jamaiss! De plus avoir des clients satisfaits par notre travail, il n'y a rien de plus gratifiant !